Willy Vannitsen (Wiel's) pissant pied à terre, Tour de France 1962. |
En compétition, en fonction de la durée et du rythme de l'épreuve, ou du lieu, les coureurs posent pied à terre ou profitent d'une descente pour uriner en roue libre. Certains, se font pousser par un coéquipier. A chacun selon sa sensibilité, sa pudeur et sa capacité à rattraper le peloton.
Hors compétition, tout dépend du paysage. Un sous-bois, un bosquet sont parfaits, car la discrétion est nécessaire. En agglomération, la manoeuvre est plus gênante voire risquée : en France, uriner sur la voir publique est sanctionné par une amende forfaitaire de 68 euros (Code pénal, art. R. 633-6 et Code de procédure pénale, art. R. 48-1).
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E. Merckx pissant au bord de la route, Tour de France 1972. |
Bernard Hinault, pied à terre, 1985. |
Coureurs italiens pissant contre une palissade, Giro 1973. |
Pisser sans perdre trop de temps, un travail d'équipe. |
Joseph Velly poussant Robert Ducard (Paloma) qui pisse en roulant, Tour de France 1962. |