L'Union européenne a prolongé, lundi, l'autorisation du glyphosate pour cinq ans. Cet herbicide toxique continuera donc à être utilisé en agriculture, avec des effets possibles sur la flore, la faune, l'homme et particulièrement... le cycliste.
Pourquoi le cycliste ? Parce que, avant sa sortie dominicale, il avale un jus de fruit, un bol de céréales arrosées de lait, du germe de blé en poudre, des tartines de pain nappées de miel et un oeuf sur le plat. Autant de produits issus de l'agriculture, contenant peut-être des molécules de glyphosate.
En attendant la découverte d'une solution "propre", qui remplacerait le dangereux herbicide, que faire ? Manger "bio" est certainement la voie à suivre. Ces produits répondent à des cahiers des charges interdisant l'utilisation de produits chimiques de synthèse et d'OGM.
Pourquoi le cycliste ? Parce que, avant sa sortie dominicale, il avale un jus de fruit, un bol de céréales arrosées de lait, du germe de blé en poudre, des tartines de pain nappées de miel et un oeuf sur le plat. Autant de produits issus de l'agriculture, contenant peut-être des molécules de glyphosate.
La marque certifie que la denrée contient au moins 95 % d'ingrédients d'origine agricole biologiques. |
En attendant la découverte d'une solution "propre", qui remplacerait le dangereux herbicide, que faire ? Manger "bio" est certainement la voie à suivre. Ces produits répondent à des cahiers des charges interdisant l'utilisation de produits chimiques de synthèse et d'OGM.
En 2016, 69 % des Français consommaient ces produits au moins une fois par mois et 15 % tous les jours, contre 10 % en 2015, selon l'Agence bio. Plus la demande augmentera, plus les surfaces agricoles bio s'étendront. Elles ne représentent encore que 7,3 % des exploitations françaises.
Dès maintenant, ami cycliste, évite le glyphosate et soutient une agriculture respectueuse de la vie : croque des céréales bio !
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F. Gimondi, en 1968. Avant le "bio". |