Ultime phase dans la rénovation du Mercier Prestige, daté d'environ 1976 : la pose de divers équipements.
La liste :
- câbles de freins, dans des gaines blanches ;
- câbles de dérailleurs (récupération de la gaine dorée d'origine pour le dérailleur arrière) ;
- couvre-cocottes Rustines sur les cocottes Shimano 600 (pas exactement à la taille) ;
- nouvelle chaîne ;
- crème sur la selle en cuir San Marco marquée "Mercier" ;
- ruban de cintre blanc.
Pour rouler en chaussures d'hiver, j'ai posé des cale-pieds en plastique sans courroies. Je monterai des modèles en métal plus tard.
Après cela, essai sur route (un tour du pâté de maisons). C'est la première fois que je pédale sur un Mercier ! Bonnes sensations. Les dérailleurs fonctionnent. L'arrière n'est pas indexé. Avec mon cuissard, je glisse sur la selle, sans doute à cause de la crème.
Un virage puis une descente pour essayer les freins. Ils sont efficaces... très efficaces : je ralentis trop. Mais non ! c'est la roue qui s'est décentrée ; elle colle au hauban. Je la repositionne.
Il ne reste plus qu'à trouver une sacoche de selle pour y mettre le nécessaire de réparation, et attendre que la route sèche pour une petite sortie. Objectif : montrer le vélo à son ancien propriétaire.
Utilisation : temps sec, afin de préserver l'objet.
Sensations : légèreté.
Braquets : plateaux de 52 et 44 ; pignons de 24, 21, 19, 17, 15, 13.
Equipement : groupe Shimano Dura Ace (vers 1976), sauf la potence (Philippe) ; pompe Zéfal 2.
Masse (avec pédales, sans sacoche) : 10 kg.
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